C’est peut-être avec les cueillettes que nous faisions en famille que mon regard sur la nature s’est aiguisé. Faire un bouquet des premières violettes, reconnaître un champignon parmi les feuilles mortes, guetter le fruit mûr sur l’arbre, la noisette sous la branche, goûter ce que la nature nous offre : quelle récompense !
Depuis longtemps je guette l’écorce de l’arbre, ses branches, ses feuilles, la mue des platanes si colorés les jours de pluie, les lichens, les mousses, les blessures, les gerçures, la rugosité, le lisse, le doux, le chevelu, le velu, le granuleux… Autant de matières, de lignes et de teintes à saisir sur la peau de l’arbre. Du jour où mon œil s’est arrêté sur un détail d’écorce, je n’ai cessé de faire des allers retours entre la nature, le concret et l’imaginaire – entre figuratif et abstrait.
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…
En cours d’écriture…